Dans le langage courant, on parle habituellement de soin lorsque l’on se rend chez un spécialiste pour régler un problème personnel. Il est important de commencer cet article en précisant que le sophrologue ne soigne pas car il n’est pas un professionnel de santé.
Grâce à la combinaison de trois influences que sont le yoga dynamique du sud de l’Inde, la gestion des émotions par les moines tibétains et la gestion des pensées par le zazen japonais, je vous accompagne en sophrologie sur différentes problématiques. Les principales sont :
La liste est si longue que personne ne parvient à énumérer de manière exhaustive l’ensemble des domaines que couvre la sophrologie !
Pour cette raison, les sites web des sophrologues doivent pouvoir vous servir de repère en présentant ce qu’ils recouvrent. Certains seront spécialisés, d’autres resteront généralistes tout en ayant des prédispositions pour telles ou telles problématiques. Je vous encourage à visiter la page de mon site dédiée à la sophrologie afin de faire le tour des sujets que j’accompagne.
D’une manière générale, retenez que lorsque la relation au corps, aux émotions et aux pensées sont impliquées dans des problématiques personnelles, des troubles, des difficultés liées à un contexte extérieur, la sophrologie peut intervenir. C’est dire si c’est large !
En tant que sophrologue je ne soigne pas, je transmets
La sophrologie est une pratique à part entière que l’individu acquiert soit sous la forme de séance particulière pour un problème particulier, soit sous la forme de cours collectifs. A la manière d’un cours de yoga, de méditation en pleine conscience ou de Chi-Qong, je transmets ses techniques mais aussi son hygiène de vie. La sophrologie introduit entre autres, le pouvoir de la respiration et celui de la pensée positive, la capacité à recevoir sans jugement les sensations corporelles, les émotions et les pensées.
Pourquoi dit-on alors que la sophrologie soigne ?
Cet abus de langage trouve son sens lorsque l’on prend en compte la définition générale du verbe soigner :
« s’occuper du bien-être et du contentement de quelqu’un, du bon état de quelque chose »
il est pourtant très important de faire la différence avec les actes que seuls les médecins sont autorisés.
Voici la nuance que je fais dans mon cabinet ou en séance à distance, je prends soin de chaque personne que j’accompagne et je lui transmets le plaisir de prendre soin de soi. C’est précisément la sophrologie que j’ai découvert en 2013 qui m’a fait approcher ces notions si simples et pourtant si précieuses. Se vouloir du bien, porter sur soi un regard positif et bienveillant, suspendre son jugement… Les impacts de ces notions fondamentales sont nombreux et déterminants pour bon nombre de problématiques que l’on rencontre tous à différents niveaux et dans tous les domaines de notre vie. Voici ce que vous risquez de prendre comme habitudes positives si vous faites le pas vers la sophrologie 😉